Le muet fait parler de lui
Anciennement réservé au cinéma, le sous-titrage touche aujourd’hui une plus large audience. Sa force ? S’adapter à tous les contextes et à tous les supports :
- un public : les personnes sourdes et malentendantes (10% de la population mondiale)
- un canal : internationalisation facilitée
- un lieu : visionnages discrets dans les transports (et même au bureau, chut !)
Cisco, leader mondial de la transformation numérique, estime à 82% la part de contenu vidéo dans le trafic internet d’ici à 2021.
Et effectivement, en plus d’optimiser le référencement sur Google, les vidéos sous-titrées enregistrent davantage de vues sur les réseaux sociaux. Mais pas uniquement. Les entreprises semblent elles aussi privilégier de plus en plus la communication « muette » auprès de leurs consommateurs comme de leurs collaborateurs.
Plus simples à diffuser, les sous-titres sont en outre moins contraignants en termes de coûts puisqu’ils s’intègrent à une seule et même vidéo.
En termes de pratique, sous-titrer une vidéo ne s’apparente pas à un exercice de traduction « classique », et requiert les compétences davantage techniques que stylistiques d’un traducteur spécialisé pour répondre aux contraintes support :
- le time-coding : un point d’entrée et un point de sortie pour l’affichage de chaque ligne de sous-titre
- la synthèse : respect d’une limite de caractères par ligne propre à chaque langue
- le rythme : vitesse de lecture à adapter au nombre de caractères lisibles par seconde (CPS) afin que le cerveau ait le temps d’enregistrer l’information
Par exemple, pour une même séquence, l’anglais sera plus court à lire que le russe. Le traducteur devra donc réadapter la vitesse de lecture en simplifiant, redécoupant ou repositionnant la ligne de sous-titres.
Autant de paramètres à prendre en compte pour une communication efficace.
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